Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est régulièrement revu par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 2 qui traite de la sécurité des biens (ou actifs) et représente 10% du programme.
Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est régulièrement revu par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 3 qui traite de la sécurité des architectures et de l’ingénierie. Il représente 13 % du programme.
Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est régulièrement revu par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 4 qui traite de la sécurité des réseaux. Il représente 14 % du programme.
Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est régulièrement revu par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 5 qui traite de la sécurité des identités et des accès. Il représente 13 % du programme.
Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est régulièrement revu par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 6 qui traite de l’évaluation et des tests de sécurité. Il représente 12 % du programme.
Le CISSP est la certification la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. L’examen est exigeant et demande un travail préparatoire soutenu quel que soit le mode choisi (voir les conseils de préparation). Le programme officiel (Common Body of Knowledge) est revu régulièrement par l’(ISC)2. Son contenu est très large. Il couvre de nombreux concepts, pratiques et techniques couramment utilisés en cybersécurité qu’un professionnel compétent doit connaitre, sans pour autant en être un expert. On dit souvent que le CISSP est « surfacique » : beaucoup de connaissances, jusqu’à la sécurité physique sont abordées sans être approfondies. Le champ des questions possibles est très large. Cet article est consacré au domaine 1 qui traite de la sécurité et la gestion des risques. Il représente 15% du programme.
La certification internationale CISSP est la plus reconnue dans le monde de la cybersécurité. Mi-2019, l’ISC(2) dénombrait environ 130 000 personnes certifiées (dont une bonne partie aux Etats-Unis et un millier en France). Les conditions pour être certifié sont la réussite à l’examen, la justification de cinq années d’expérience professionnelle dans au moins deux des huit domaines du programme, l’adhésion au code déontologique et l’approbation d’une personne certifiée (« endorsement »). Plusieurs changements ont été mis en place par l’ISC(2) concernant le mode d’examen et le contenu du programme.
Préparer l’examen CISSP exige un travail soutenu. Le programme comporte 8 domaines (voir les résumés des contenus 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8) qui aborde tous les aspects de la cybersécurité sans toutefois les approfondir. Le programme revu tous les trois ans par l’ISC(2) cite de nombreuses références et ouvrages qui forment une partie de l’état de l’art. Un article précédent établit une liste des normes ISO dont il est recommandé d’avoir une idée du contenu. Voici une liste d’autres documents, dont beaucoup sont américains, importants à connaitre pour être certifié.A.
Les certifications individuelles sont de plus en plus requises par les entreprises qui recrutent des professionnels de la cybersécurité. Si le CISSP reste la certification généraliste la plus connue, l’utilisation massive des offres de Cloud publics et privés rend incontournable le besoin d’expertise cyber spécialisée dans ce domaine. Parmi les certifications proposées par les fournisseurs américains de solutions de Cloud publics, citons AWS Certified Security, AZ 500 de Microsoft et Professional Cloud Security Engineer de Google. Deux certifications « agnostiques » de sécurité du Cloud de détachent : le CCSK et le CCSP. Notons enfin la certification orientée audit du Cloud CCAK.
Le temps pour préparer la certification CISSP dépend bien entendu de l’expérience acquise en cybersécurité et du niveau de compétences en la matière. Comme le programme de l’examen est très « surfaçique », c’est-à-dire qu’il couvre tous les domaines de la cybersécurité sans les approfondir, il est rare qu’un professionnel de la sécurité, même chevronné, ne doive pas fournir un travail de révision conséquent, dans un des huit domaines (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7 et 8) pour réussir l’examen. De nombreux livres de préparation sont disponibles, voici quelques exemples.
Le CISSP fait partie des certifications de cybersécurité les plus reconnues sur le marché de l’emploi. La préparation à l’examen exige un travail soutenu. Le corpus documentaire du programme comprend de nombreuses normes et référentiels. PROSICA propose une formation de 5 jours dont les objectifs sont d’acquérir les fondamentaux, de s’entrainer aux questions d’examen et d’évaluer la charge de travail de révision à produire avant l’examen. Le programme de certification est revu par l’ISC(2)tous les 3 ans. Cet article récapitule les principales évolutions du programme en vigueur de 2024 à 2027.
Plusieurs certifications individuelles permettent aux professionnels de la sécurité de démontrer leurs compétences et leur expérience dans le domaine du Cloud. Certaines sont spécifiques à un environnement, par exemple pour le Cloud public « AWS Certified Security Specialist » ou « Azure Security Engineer Associate ». Les certifications individuelles généralistes sur la sécurité du Cloud les plus reconnues sont le CCSP, proposée par l’ISC2 et la Cloud Security Alliance) et la certification CCSK (Certificate of Cloud Security Knowledge) de la même CSA. Le CCSK est sans doute un bon début pour tout professionnel qui souhaite passer une certification en sécurité du Cloud.
L’utilisation des services de Cloud (IaaS, PaaS et SaaS) est en plein essor aussi bien dans les grands groupes que dans les petites organisations. Agilité, automatisation et efficacité amènent beaucoup de souplesse pour aligner l’informatique aux besoins des métiers. Les professionnels de la sécurité doivent s’adapter pour protéger ces environnements qu’ils soient publics ou privés. Deux grands axes de montée en compétence se dégagent. Le premier consiste à acquérir les concepts et réflexes clés : ce sont les objectifs des certifications CCSP et CCSK. La deuxième possibilité est de se concentrer sur une solution en passant les certifications proposées par les grands acteurs du marché en particulier américains (AWS, Microsoft Azure, Google). Cet article donne quelques conseils pour préparer et réussir les certifications CCSKet CSSP.